Du 20 au 23 octobre 2023, ONU FEMME, l’Union africaine, l’ Aucieffa, tiendront la semaine d’action panafricaine sur la foi, la culture et les politiques en faveur de l’égalité hommes-femmes, l’éducation des filles et la santé.
La cérémonie de démarrage des travaux a eu lieu, ce lundi 20 octobre 2023, dans un hôtel de la place en présence des parlementaires Africains, des guides religieux, des autorités étatiques ainsi que tous les acteurs de lutte de l’égalité des genres.
Pour le thème choisi pour la première journée de l’atelier: les parlementaires Panafricains et l’ OPDAD comme défenseurs de la promotion de l’éducation des filles et l’élimination des mariages des enfants, la directrice du genre du ministère sénégalais de l’éducation nationale a montrée son optimisme de voir le souhait de tout le monde etre exaucé.
Dans son allocution, Mme Sow se dit rassuré de voir le Sénégal accueillir cette atelier des parlementaires Africains qui œuvrent pour l’éducation des filles et des jeunes femmes qui est une priorité pour tout le continent.
Notre cher Sénégal partage cette vision sous l’impulsion du chef de l’état, M. Bassirou Diomaye Faye et du gouvernement pour qui l’équité et l’égalité des genres qui sont au cœur de nos politiques et parmis les actions phares on peut citer:
* une mise en place d’une journée nationale de l’éducation des filles à la date du 11 novembre
* la lutte contre les violences basées sur le genre au Sénégal dans toutes les sphères et à l’école
* Et la promotion du leadership féminin dans le système éducatif
Ces efforts traduisent une conviction forte d’éducation des filles n’est pas seulement un droit, c’est aussi un levier essentiel de développement durable, de la paix et de la prospérité de nos sociétés »
» Cet atelier est d’une grande importance car il mobilise les parlementaires Panafricains, véritables acteurs de la transformation éducative. Votre rôle chez Panafricains est déterminant. Vous avez le pouvoir d’évaluer les lois, d’assurer le suivi et la redevabilité des engagements pris et de mobiliser les ressources nécessaires pour garantir à chaque fille Africaine une éducation inclusive. Le thème général de cet atelier ullistre parfaitement notre ambition commune qui est de bâtir des systèmes éducatifs Africains plus équitables, plus résilientes et plus sensibles au genre ». Conclut-elle.
Pour M. Maxime directeur général de Onu Femme section Sénégal, son intervention s’est figée sur le mariage precose des filles.
» je voudrais rappeler que la majeure partie des filles c’est-à-dire entre 4 à 6 des filles sont mariées avant vraiment l’âge adulte au niveau de l’Afrique de l’Ouest et du centre. Donc c’est environ 6% de ces filles subissent les violences basées sur le genre durant leur vie donc il est important. Je reconnais que des efforts ont été faits mais ça persiste toujours.
C’est pour celà que l’Onu femme est vraiment engagée à ramener le leadership traditionnel. Ceci promet avec le partenariat des influenceurs et les politiques sont nécessaires. Cependant, la convention Africaine pour mettre fin à la violence faite aux filles. Tout ça nous permet d’agir. Cette année marque la 30eme année de l’accord de Béging sur la protection des filles et des femmes. On a eu à rencontrer le président du Chine qui est prêt a eu mettre des centaines de millions pour l’éducation des filles ».
Un autre qui a pris la parole fut la représentante des premières Dames africaines qui d’après elle ont pour mission dans ces ateliers de réflexion d’autonomiser les filles et les femmes africaines en enlevant ces barrières qui déforment leur éducation et leur grandissenment.
Cependant la deuxième jour de cette semaine d’action panafricaine pour les filles sera essentiellement consacrée aux réflexions des religieux sur comment ils perçoivent les politiques en faveur de l’égalité des hommes-femmes.