Les contenus générés par l’intelligence artificielle envahissent le web et bon nombre d’entre eux sont de piètre qualité, voire trompeurs. Les éditeurs appellent cela la « bouillie d’IA » : citations fictives, communiqués de presse fabriqués, titres conçus pour plaire aux algorithmes.
Dans un monde où l’information est produite plus rapidement et à moindre coût que jamais, la confiance est devenue une ressource précieuse. C’est là que les relations publiques professionnelles – longtemps accusées de faire du « spin » – jouent aujourd’hui un rôle aussi inattendu qu’essentiel : garantir la crédibilité dans un paysage médiatique devenu incertain.
L’IA a sa place, mais elle ne remplace pas l’humain
Soyons clairs : l’intelligence artificielle n’est pas l’ennemie. Elle est un outil puissant pour automatiser les tâches, analyser les données et produire des insights. Mais elle a ses limites.
Au-delà du flot de contenu de mauvaise qualité, un risque de plus en plus visible est celui de l’effondrement des modèles : lorsque les IA se nourrissent des contenus générés par d’autres IA, les résultats deviennent progressivement moins fiables, moins pertinents, et souvent faux.
Dans ce contexte, deux éléments fondamentaux des RP deviennent des sauve-conduits essentiels pour les journalistes comme pour le public :
• Un accès direct aux dirigeants
• Des communiqués de presse vérifiés, émis par des sources responsables
L’IA peut imiter le style d’un PDG, produire une citation plausible, ou générer un faux communiqué crédible à première vue. Mais elle ne peut pas offrir ce qui compte vraiment :
• Une vraie interview avec de vrais enjeux
• Un lien direct avec une personne décisionnaire
• Une déclaration authentique, vérifiable, engageant une responsabilité réelle
• Une voix locale qui saisit les nuances, pas seulement les mots-clés
Informer avec fiabilité : une mission humaine
Chez APO Group, nous sommes fiers d’être la plus grande agence panafricaine de communication et de relations publiques, ainsi que le seul fournisseur dédié à la distribution de communiqués de presse et de contenus médiatiques à l’échelle du continent, via notre plateforme propriétaire : Africa Newsroom.
En l’absence d’une autorité de régulation panafricaine équivalente à la Financial Conduct Authority du Royaume-Uni, Africa Newsroom joue le rôle de fournisseur principal d’informations de référence en Afrique – une plateforme de confiance, utilisée pour diffuser des communications officielles et vérifiables du secteur privé comme du secteur public.
Chaque contenu diffusé est revu, optimisé et traçable, grâce au travail rigoureux de notre équipe.
Du côté des relations publiques, lorsque nous organisons une interview entre un journaliste et un ministre africain, ou une conférence de presse avec le PDG d’un grand groupe international qui s’implante à Nairobi ou Abidjan, nous faisons ce que l’IA ne peut pas faire : bâtir la confiance grâce au lien humain.
Le mois dernier, nous avons facilité plus de 200 interviews de dirigeants pour des marques comme Coca-Cola et Canon, en connectant des journalistes à de véritables décideurs – pas à des personnages artificiels.
Ce n’est pas de l’automatisation. C’est un travail de relation profonde.
Les communiqués de presse comptent toujours – à condition d’être bien faits
Beaucoup considèrent à tort les communiqués de presse comme un format dépassé. Pourtant, lorsqu’ils sont factuels, vérifiés, conformes, attribués, et envoyés aux bonnes personnes au bon moment, ils deviennent autre chose : des signaux fiables dans un océan de bruit numérique.
La cascade de la confiance : Relations publiques → Journalistes → Public
Le récent scandale de l’indexation des conversations ChatGPT par OpenAI – qui a vu des échanges privés apparaître dans les résultats de Google – illustre bien les dangers d’un contenu détaché du contexte, du consentement et du contrôle.
La confiance du public en a souffert, et les marques concernées continuent d’en gérer les conséquences.
Quand les écosystèmes de l’information se fragilisent, la confiance devient un effet domino.
Et c’est là que les RP jouent un rôle essentiel :
• Nous fournissons des données crédibles : des personnes réelles, des citations authentiques, des faits vérifiés
• Les journalistes valident et diffusent ces contenus
• Le public reçoit l’information en toute confiance, sachant d’où elle provient
Sans cette première couche de professionnalisme, nous risquons de construire un monde d’information sur du sable synthétique.
Pourquoi cela est encore plus crucial en Afrique
La désinformation générée par l’IA est un phénomène mondial. Mais ses effets sont plus destructeurs encore dans les marchés émergents, et notamment en Afrique.
Ici, les médias indépendants manquent souvent de ressources, et la confiance institutionnelle est fragile. L’impact des fausses informations amplifiées par l’IA peut être réputationnel, politique, financier, voire existentiel.
C’est précisément pour cela qu’APO Group existe : pour connecter des récits africains crédibles à l’écosystème médiatique mondial. La vérité humaine est notre avantage concurrentiel.
L’avenir de la communication n’oppose pas l’humain à l’IA. Il repose sur les deux. Mais aujourd’hui, une seule voie permet encore de créer du lien, de la responsabilité, de l’authenticité.
Chez APO Group, nous continuerons à investir dans la technologie. Mais notre conviction reste intacte : le contenu de confiance commence toujours par des humains.
Notre approche unique mêlant RP professionnelles et distribution médiatique panafricaine – offre une rare combinaison : portée et fiabilité, influence et rigueur.
Nous connectons les journalistes aux sources réelles, dans les 54 pays d’Afrique, à un moment où les boîtes de réception sont saturées de bruit artificiel. C’est notre engagement envers nos clients, les médias, et le public. Et dans un monde saturé par la bouillie d’IA, c’est ce qui fait toute la différence.