Face à la presse, ce lundi 22 décembre 2025, le mouvement syndical de l’Ipres se dit déçu des nouveaux retombées des promesses qu’avait tenue la tutelle concernant leur revendications.
Cette détermination est animée par le non respect du dialogue qu’avait entamé le président du conseil d’administration M. Racine Sy avec les agents, le 5 décembre 2025 constituant des engagements formels de la direction générale.
Selon le Coordonnateur de la délégation, M. Harouna diop » la direction persiste dans une attitude de report et de laxisme, accentuant une crise qui affecte quotidiennement le personnel qui depuis longtemps subissent des conditions ingerables:
• Ascenseur en panne permanente ;
•Des ruptures fréquentes de consommables essentiels;
• problème chroniques de connexion entrant dans le cadre du travail et d’approvisionnement en eau;
•Une insuffisance et des ruptures de stock de matériel médical.
•À celà, s’est ajouté un accord bloqué, une gestion des carrières inéquitable:
•Comme le blocage injustifié, sur un texte déjà négocié et arrêté, témoignant d’un mépris profond envers le personnel, suivant un système de gestion des carrières opaques et profondément injustes, où des agents chevronnés stagnent pendant des décennies tandis que des promotions accélérées et arbitraires sont accordées à d’autres », Nous dit le coordinateur de la délégation de l’Ipres.
Ainsi, face à ce blocage persistant, la délégation du personnel réitère ses trois exigences fondamentales à savoir:
1. L’amélioration effective et immédiate des conditions de travail;
2. La validation sans délai de l’accord d’entreprise;
3. L’instauration d’une gouvernance transparente, équitable et respectueux des droits.
Au cas échéant, la délégation syndical n’exclut pas, à l’issue de cette assemblée, de reprendre les actions syndicales, y compris le débrayage et la grève, si aucune réponse satisfactante n’est apportée par la Direction.
Aminé par ce qu’ils jugent inadmissible, les agents de l’Ipres jurent de paralyser le secteur jusqu’à ce que leurs revendications soient prises au sérieux.
