Plan International Sénégal a organisé, ce mardi 18 au 20 mars 2025, un atelier dédié à l’élaboration de sa nouvelle stratégie pays pour la période 2026-2030. l’organisation qui œuvre aux côtés des enfants, des jeunes et des femmes avec l’appui des partenaires pour promouvoir un monde juste et équitable se réuni pour deux jours dans le but d’élaborer leur feuille de route pour la période 2026-2030.
Cet atelier a été présidé par la directrice Nationale du plan International Sénégal Mme Salimata Bokoum et des partenaires financiers techniques et institutionnels.
Cet atelier vise à définir les orientations stratégiques pour les cinq prochaines années, en s’appuyant sur les succès obtenus et en identifiant les domaines nécessitant une attention particulière.
L’objectif de cet atelier est de renforcer l’impact des initiatives de Plan International Sénégal en faveur des enfants et des jeunes du pays afin de les aider dans les études à l’école, le financement pour les femmes, les mutations génitales, les grossesses précoces ainsi que les mariages en milieu scolaire.
Lors de sa prise de parole, Mme Salimata bokoum la directrice Nationale du plan International Sénégal est revenu sur la participation des partenaires institutionnels ,techniques et de la société civile qui se sont réunis aujourd’hui pour réfléchir sur le choix du plan stratégique l’élaboration du document pour les cinq prochaines années.
La directrice nationale du plan International Sénégal a souligné que » nous avons déjà élaboré de document stratégique de la période de 2021 _ 2025 ,qui ont mis l’accent le progrès en terme de renforcement de leadership des jeunes filles mais également la participation active des enfants avec la mis en place des réseaux des enfants ambassadeurs avec beaucoup d’avance sur le droit des enfants telsque le droit de l’éducation, la protection, la santé etc….Nous avons eu des progrès sur le questions de la jeune filles à savoir la santé de la reproduction, la lutte contre les violences basées sur le genre et l’autonomisation économique des jeunes filles et les femmes ».
« Ce rapport fait parti du processus de l’élaboration mais aussi les consultations que nous avons menés auprès des ministères, de nos partenaires et au niveau des communautés qui ont témoigné l’impact que notre organisation a sur leur vie et communautés. Tout cela a été résumé par ce rapport qui nous a permis dja engagé les progrès mais également réfléchir sur d’autres choses à améliorer » à t’elle ajouté.
Pour clore ses propos elle a indiqué que « malgré les progrès, les ressources financières n’ont pas permis de dérouler les objectifs du programme mais avec nos ressources nous avons pus atteindre nos objectifs.