En une seule après-midi, 47 chargés de mission, en réalité des délégués départementaux du PASTEF, ont été bombardés de postes sans qu’aucune mission sérieuse ne leur soit assignée. Dans nos chancelleries, on a créé des postes de consuls généraux adjoints (CGA) pour y placer des profils dont certains se sont déjà illustrés sur les réseaux sociaux par leur insolence et leurs outrances. Partout, les nominations dans les secteurs publics et parapublics obéissent moins à la compétence qu’au clientélisme partisan.
Pendant ce temps, 44 % du budget national sont engloutis par le service de la dette et 1 522,8 milliards de francs CFA par les dépenses de personnel. Addition faite, dette et masse salariale absorbent plus de la moitié de la Loi de Finances Initiale 2026. Dans ces conditions, une seule question s’impose : qu’attend le Premier ministre pour appliquer ses propres promesses de rationalisation entre agences et directions qui se chevauchent, alors même que 49 % de nos ressources proviennent de l’emprunt, faisant dériver dangereusement notre ratio dette/PIB ?
Comme l’a rappelé hier le président Thierno Alassane Sall, « le Sénégal vous a tout donné ». Pourtant, le PASTEF a choisi l’irresponsabilité comme mode de gouvernement, au moment précis où sunugaal prend l’eau, économiquement et socialement.
Monsieur le Premier ministre Ousmane Sonko, maintenant que vous avez repris le travail, vous n’avez plus d’excuse : vous avez le devoir de réduire le train de vie de l’État. La rationalisation des structures publiques n’est plus une option ni un slogan, mais une urgence nationale. C’est le minimum, et c’est le premier acte fort que le pays attend de vous.
Assane BA
Coordonnateur du Mouvement des jeunes de LA RÉPUBLIQUE DES VALEURS (MONJER)
En une seule après-midi, 47 chargés de mission, en réalité des délégués départementaux du PASTEF, ont été bombardés de postes sans qu’aucune mission sérieuse ne leur soit assignée. Dans nos chancelleries, on a créé des postes de consuls généraux adjoints (CGA) pour y placer des profils dont certains se sont déjà illustrés sur les réseaux sociaux par leur insolence et leurs outrances. Partout, les nominations dans les secteurs publics et parapublics obéissent moins à la compétence qu’au clientélisme partisan.
Pendant ce temps, 44 % du budget national sont engloutis par le service de la dette et 1 522,8 milliards de francs CFA par les dépenses de personnel. Addition faite, dette et masse salariale absorbent plus de la moitié de la Loi de Finances Initiale 2026. Dans ces conditions, une seule question s’impose : qu’attend le Premier ministre pour appliquer ses propres promesses de rationalisation entre agences et directions qui se chevauchent, alors même que 49 % de nos ressources proviennent de l’emprunt, faisant dériver dangereusement notre ratio dette/PIB ?
Comme l’a rappelé hier le président Thierno Alassane Sall, « le Sénégal vous a tout donné ». Pourtant, le PASTEF a choisi l’irresponsabilité comme mode de gouvernement, au moment précis où sunugaal prend l’eau, économiquement et socialement.
Monsieur le Premier ministre Ousmane Sonko, maintenant que vous avez repris le travail, vous n’avez plus d’excuse : vous avez le devoir de réduire le train de vie de l’État. La rationalisation des structures publiques n’est plus une option ni un slogan, mais une urgence nationale. C’est le minimum, et c’est le premier acte fort que le pays attend de vous.
Assane BA
Coordonnateur du Mouvement des jeunes de LA RÉPUBLIQUE DES VALEURS (MONJER)
En une seule après-midi, 47 chargés de mission, en réalité des délégués départementaux du PASTEF, ont été bombardés de postes sans qu’aucune mission sérieuse ne leur soit assignée. Dans nos chancelleries, on a créé des postes de consuls généraux adjoints (CGA) pour y placer des profils dont certains se sont déjà illustrés sur les réseaux sociaux par leur insolence et leurs outrances. Partout, les nominations dans les secteurs publics et parapublics obéissent moins à la compétence qu’au clientélisme partisan.
Pendant ce temps, 44 % du budget national sont engloutis par le service de la dette et 1 522,8 milliards de francs CFA par les dépenses de personnel. Addition faite, dette et masse salariale absorbent plus de la moitié de la Loi de Finances Initiale 2026. Dans ces conditions, une seule question s’impose : qu’attend le Premier ministre pour appliquer ses propres promesses de rationalisation entre agences et directions qui se chevauchent, alors même que 49 % de nos ressources proviennent de l’emprunt, faisant dériver dangereusement notre ratio dette/PIB ?
Comme l’a rappelé hier le président Thierno Alassane Sall, « le Sénégal vous a tout donné ». Pourtant, le PASTEF a choisi l’irresponsabilité comme mode de gouvernement, au moment précis où sunugaal prend l’eau, économiquement et socialement.
Monsieur le Premier ministre Ousmane Sonko, maintenant que vous avez repris le travail, vous n’avez plus d’excuse : vous avez le devoir de réduire le train de vie de l’État. La rationalisation des structures publiques n’est plus une option ni un slogan, mais une urgence nationale. C’est le minimum, et c’est le premier acte fort que le pays attend de vous.
Assane BA
Coordonnateur du Mouvement des jeunes de LA RÉPUBLIQUE DES VALEURS (MONJER)
Articles similaires
Add A Comment
