Le Congo-Brazzaville vient de connaître deux échecs diplomatiques en peu de temps.
D’abord avec Henri Lopes à la Francophonie, puis aujourd’hui à l’UNESCO : le candidat égyptien aurait obtenu 55 voix sur 57, laissant seulement 2 voix au Congo malgré un profil jugé pointu.
Ces résultats successifs mettent en lumière un enjeu majeur : au-delà du mérite individuel, la stratégie diplomatique congolaise doit être repensée.
Dans un monde où influence, alliances et réseautage déterminent le succès, le Congo doit renforcer sa présence et son rayonnement sur la scène internationale.
Dr. Mohamed Diallo