“La réponse dont la direction des parc nationaux et ampliataire n’a pas été portée à la connaissance de la presse, encore moins à l’opinion nationale. A mon avis, cette réponse clôture définitivement le débat qui a été soulevé avec autant d’émotions. La démarche entreprise par le ministère de l’environnement et du développement durable s’inscrit dans un cadre de protection de notre patrimoine, de la protection de notre biodiversité animale, notamment les Oryx. Ils disent, s’il était question de translocation internationale le pays devrait appliquer les conventions internationales auxquelles il a adhéré mais ce n’est pas le cas puisqu’il est question ici de translocation à l’intérieur du territoire national“, a déclaré le ministre de l’environnement et du développement durable, à l’hémicycle.
La fin de l’épilogue
Il précise : “Concernant la destination des animaux à l’intérieur du territoire national, chaque pays est souverain avec son propre cadre légal. Nous avons été informé de la nouvelle politique du Sénégal en matière de conservation de la biodiversité en général et de la faune sauvage en particulier. La promotion d’une contribution de la société civile à la conservation de la nature est loyale. Je considère que ce débat est clos“, a-t-il souligné, informe la Rfm.