Placé, 32ème des pays les plus exposés aux changements climatiques, le sort du Sénégal inquiète les acteurs du climat réunis autour des organisations non étatiques tels que: Enda Énergie, Oxfam, Natural Justice, IIED, The African Climat foundation, et le ministère de l’environnement qui pendant la période du 21 au 25 juillet 2025 pour la SEMAINE CLIMAT ÉNERGIE pour aborder les sujets qui gravitent autour du changement climatique afin d’y tirer des solutions de résilience.
Unitié sous le theme: » Reinventons nos territoires pour faire face à l’urgence climatique et dans une perspective de souveraineté économique en Afrique », cette semaine climat Énergie a pour objectif selon M. Emmanuel Seck, directeur général de Enda Énergie pour magnifier le travail sur le changement climatique, mais aussi pour réfléchir, partager, faire le bilan sur les questions de changements climatiques essentiellement.
Pour cette 4eme édition nous dit M.seck » Accès sur la reinventation des territoires face à l’urgence climatique pour une souveraineté économique, la résilience de nos populations et de nos écosystème.
« C’est un plateforme que nous avons institutionnaliser pour permettre chaque année au organisations non étatiques de converger à travers des propositions, pour permettre de faire le bilan mais aussi d’arriver avec des propositions pour la prochaine édition pour nous préparer, préparer nos gouvernants, coconstruire avec nos communautés pour avoir des recommandations fortes. Des recommandations fortes orientées sur les questions d’adaptation, de justice climatique, de finance climatique, de perte et dommages et des solutions portées par et pour les populations. Il sera réfléchi aussi sur comment renforcer les terroirs, à parler de quelque éléments de solutions afin d’explorer.
Il sera questions de:
• Remonopoliser les efforts pour faire face aux changements climatiques
•explorer les territoires des potentiels existants
• Développer des pôles de développement rurales autour des secteurs clés de: l’élevage, l’artisanat, l’agroécologie, la pisciculture, l’agriculture
• valoriser les bassins de rétention, la chasse, l’eco-tourisme
• Mettre à l’échelle des réponses fournies par les communautés, les paysans, les acteurs non étatiques pour transformer la technique, la recherche, les politiques en opération
» En effet, nous devons promouvoir les entreprises locales qui maîtrisent les chaînes de valeurs à forte potentielle de mains d’œuvre. Valoriser les pratiques et savoir agricole pour créer plus d’emplois luttant contre la pauvreté, la dégradation des mers, l’émigration et préserver le patrimoine culturel.
*Renforcer les capacités dans la valorisation des produits du terroirs de même que l’organisation des filiales
Améliorer le rôle de la diaspora pour le développement de collectivités territoriales en leurs offrant des niches d’investissement afin que leurs appuies soient uniquement orienté vers les infrastructures d’accès à l’eau, la santé, l’éducation, l’agriculture mais surtout la création d’emploi » conclut M. Emmanuel Seck, directeur général de Enda Énergie.
Pour le ministre de l’environnement et de la trasition écologique, Dr Daouda Ngom, ce 4eme édition placé sous le thème » Reinventons nos territoires pour faire face à l’urgence climatique et dans une perspective de souveraineté économique en Afrique » peut être démontre par ce qui s’était passé l’année dernière d’où des localités de ce pays ont été envahi par les eaux de pluie et ceci nous rappelle avec brutalité que ce changement climatique n’est plus une menace lointaine mais une réalité présente et urgente.